Le divorce « par consentement mutuel » instauré en Suisse est un vrai succès !

On se fait encore une idée très conflictuelle du divorce. Or, depuis une vingtaine d’années, il est possible de divorcer « pacifiquement » en Suisse. Une avancée législative majeure et si bénéfique à tous points de vue qu’aujourd’hui 9 divorcés sur 10 ont choisi cette option en Suisse. Elle s’appelle, divorce par « consentement mutuel », ce qu’on pourrait résumer par « à l’amiable ». Cependant les exigences de cette procédure méritent qu’on s’y arrête.

S’accorder sur la suite, voilà ce qui compte pour divorcer à l’amiable en Suisse

Le point fort de cette nouvelle façon de faire est qu’elle ne s’intéresse plus du tout aux causes du divorce. Les « tu m’as trompé(e) » et autres invectives psychorelationnelles ou « morales » du genre n’y ont plus aucun poids. Seuls comptent les accords couchés sur papier par les deux époux pour gérer au mieux les conséquences concrètes et factuelles de leur divorce, au sein de ce qu’on appelle la convention de divorce suisse.

Selon qu’il est classique ou à l’amiable, le divorce suisse n’a pas du tout le même coût !

Source : www.divorce.ch

Divorce à l’amiable Suisse : des critère d’équité clairs

Les juges suisses s’assurent que ces accords sont équitables à partir d’une « grille de lecture » très standardisée (inutile donc d’essayer de tirer la couverture à soi !) Et si le couple a des enfants, il fera toujours passer leur intérêt devant ceux de leurs parents. Et si, pendant l’élaboration de leurs accords, les conjoints se heurtent à un point litigieux, ils peuvent toujours s’appuyer sur une médiation pour y remédier ! D’ailleurs, il arrive que le juge les y envoie. Plus sur : https://divorce.ch/ !